La Mosquée sénégalaise rouvre ses portes et maintient son nom
Une manifestation des citoyens du
quartier Koulewondy (Kaloum) a conduit une négociation entre fidèles
musulmans de la Mosquée sénégalaise. C’est le ministre de la Sécurité,
Mamoudou Cissé qui a mené ces négociations pendant deux jours. Ce
mercredi 11 juin, le problème est tranché grâce à la commission ad hoc
mise en place par le Secrétariat des Affaires religieuses.
Alors que certains Guinéens niaient le fait que la Mosquée sénégalaise appartient aux Sénégalais, le ministre de la Sécurité a donné raison à la partie sénégalaise. La mosquée date de 1919 et son titre foncier du 21 juillet 1954. C’était pendant la domination coloniale française.
« Ce sont des documents authentiques que nous avons pu examiner et d’autres documents subséquents. En réalité, ce sont 137 Sénégalais qui ont eu l’initiative de bâtir cette mosquée au bénéfice de la communauté islamique », a indiqué le ministre Cissé, avant de demander à ce que la mosquée soit rouverte immédiatement, c’est-à-dire le 11 juin.
Et l’imamat, qui est l’une des raisons de ces tiraillements, n’a presque pas changé. Il y a cinq imams dont le premier imam est Guinéen, le deuxième Sénégalais, et ainsi de suite. Mais il y a des choses à régler : la gestion de la mosquée. Cela se fera après discussion entre les communautés sénégalaise et guinéenne.
Il faut rappeler que c’est depuis le 25 mars que cette mosquée a été fermée suite à des altercations entre fidèles pour la direction de la mosquée.
Alors que certains Guinéens niaient le fait que la Mosquée sénégalaise appartient aux Sénégalais, le ministre de la Sécurité a donné raison à la partie sénégalaise. La mosquée date de 1919 et son titre foncier du 21 juillet 1954. C’était pendant la domination coloniale française.
« Ce sont des documents authentiques que nous avons pu examiner et d’autres documents subséquents. En réalité, ce sont 137 Sénégalais qui ont eu l’initiative de bâtir cette mosquée au bénéfice de la communauté islamique », a indiqué le ministre Cissé, avant de demander à ce que la mosquée soit rouverte immédiatement, c’est-à-dire le 11 juin.
Et l’imamat, qui est l’une des raisons de ces tiraillements, n’a presque pas changé. Il y a cinq imams dont le premier imam est Guinéen, le deuxième Sénégalais, et ainsi de suite. Mais il y a des choses à régler : la gestion de la mosquée. Cela se fera après discussion entre les communautés sénégalaise et guinéenne.
Il faut rappeler que c’est depuis le 25 mars que cette mosquée a été fermée suite à des altercations entre fidèles pour la direction de la mosquée.
El Hassane - guineee360
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