99 Names of Allah (swt)

28/10/2020

Gamou Tivaouane 2017 / Causerie de Tafsir SAKHO

Doudou Kende - Wasaliyan

KHILAASU ZAHAB

KHILASSU ZAHAB : EL HADJI MBAYE DONDE MBAYE

CARICATURES DU PROPHETE MOUHAMAD (SAW) : LA RÉPONSE DE CHEIKH SEYDI MOUHAMADOU MANSOUR SY (aefiyahi) Ô bande! Que soient anéanties vos mains qui font la caricature de la pleine lune, le secret de l’humanité. Que vos mains soient paralysées!. Mauvais est ce que vous nourrissez comme haine, dans vos cœurs, aussi ardente qu’une braise! Vos espoirs sont déçus, vos efforts vains et vous vivez une vie d’agresseurs par déception. Vous tentez de leur nuire, lui et sa religion, mais ce sera sans succès, malgré vos mauvaises intentions Vous avez osé le caricaturer, mais peut-on dessiner une lumière que l’œil est incapable de regarder ? Il est le joyau caché et la raison, sans laquelle l’univers ne serait pas créé. Les âmes de tous ceux qui cherchaient à être guidés par lui sont devenues, par cette source bénie, des lumières qui illuminent les ténèbres, Parmi les Prophètes, les Envoyés et autres croyants pour qui, son âme est l’origine de la création, Celui qui ne s’est pas abreuvé de sa source est resté athée, et a vécu malheureux, reniant toute prêche. Celui-là est l’Envoyé de Dieu, le recours dont l’intercession est espérée demain, le jour de la grande peur. Celui-là est l’Envoyé de Dieu, l’échelle par laquelle les vertueux font l’ascension dans le chemin qui mène à sa majesté. Celui-là est envoyé à toute l’humanité, c’est son succès, une source de Miséricorde. Celui-là est l’Envoyé de Dieu, l’homme le plus parfait et aucun regard ne s’est posé sur son égal, par crainte. Celui-là est l’Envoyé de Dieu, la source dont les flots de grâce couleront jusqu’au jour du souffle annonciateur du jugement. Celui-là est un Prophète et aucun œil ne verra son égal au sens physique comme moral, c’est lui la plus grande illustration. Nous le défendrons à chaque fois qu’un agresseur se manifeste, Ahmed est véritablement notre fierté, et quelle fierté ! Et autant nous refusons qu’on nuise à lui, autant on refuse avec fermeté qu’on dirige la nuisance vers d’autres guides. Faites attention ! Ce Prophète est notre refuge, notre modèle dans notre religion et la meilleure référence. Faites doucement, nous nous sommes accrochés à sa corde, à sa doctrine qu’est l’Islam, et nous vivons comme une nation. Votre voie est obstruée lorsque vous vous êtes engagés dans la voie de le calomnier, à l’image de celui qui donnerait des coups de corne à un rocher. Vous frappez sur du fer froid. Ne torturez pas vos mains, car c’est la pire des afflictions. Sa Oumma invite à la paix, comme il a déjà fait envers des peuples, et a >acquis une réputation, une bonne réputation. Nous condamnons la caricature de la Personne qui, entre les cieux et la terre, est la chose la plus sacrée. Son rang éminent est déjà établi, et Il ne peut être un jour défiguré ou souffrir d’aucun soupçon. J’en appelle à tous mes frères de religion à comprendre le sens de la religion, aussi bien sa jurisprudence que les différentes biographies, Et de se refuser l’acquisition de ces caricatures, car celui qui œuvre à leur propagation est comme celui qui profère une injure. La famille universelle, peuples soient-ils ou guides, doit s’accorder à interdire l’atteinte à l’honneur des hommes vénérables, et à interdire la profanation des sentiments, car cela permet, au moins, au Calife d’avoir une vie humble. Ainsi l’humanité vivrait dans la compréhension et c’est à cela que nous invite notre religion, l’Islam qui est la meilleure doctrine religieuse. Réfères-toi au verset : « Nous avons fait de vous des peuples », c’est un enseignement du Seigneur pour l’Illustre Famille. Que le salut et la Paix soient sur le meilleur parmi ceux qui ont appelé l’ensemble des hommes à la religion, celui qui a ressoudé les fractures Sur sa famille et ses compagnons. Voici donc ce que j’ai composé sur les caricatures du prophète, la pleine lune et le secret de l’humanité. Hommage à celui qui considère que le plus noble des hommes est le plus pieux, dans une parfaite égalité de droits entre les hommes et les femmes, les petits et les grands, les voyants et les non voyants. Celui qui a dit dans son illustre Coran que l’on célèbre et lit : « Le plus noble chez Allah, le Majestueux et le Haut, est le plus vertueux parmi vous », ou encore : « Je n’égare aucune de vos œuvres, que son auteur soit homme ou femme » Louange au Seigneur qui a créé les cieux et la terre en six jours alors que son Trône était sur l’eau, l’eau sur le vent et le vent à la mesure du détenteur de la puissance et de la noblesse.

06/10/2020

سورة البقرة كاملة بطريقة الزمزمة || 36دقيقة || أحمد ديبان Surah Al-Baqar...

TOUBA : LA GRANDE MOSQUÉE, LIEU INCONTOURNABLE DU MAGAL 6 octobre 2020 à 14h14min19128%Tags: Touba, 5 oct (APS) - Des milliers de pèlerins convergent depuis ce mardi matin vers la Grande Mosquée de Touba, à l’occasion du Grand Magal, manifestation religieuse commémorant le départ en exil au Gabon du fondateur du mouridisme, Cheikh Ahmadou Bamba, le 12 août 1895. Guide religieux pacifique, Cheikh Ahmadou Bamba, qui avait été contrait à cet exil par les autorités coloniales françaises, a vécu dans ce pays d’Afrique centrale pendant sept ans. A son retour, il avait demandé à tous ses disciples de célébrer à l’unisson cette journée historique qu’il considère comme un moment d’élévation vers Allah. A cet effet, il avait recommandé aux disciplines mourides de procéder, à chaque édition, à des récitations du Coran et de ses ‘’khassaids’’, mais surtout, de faire le ‘’berndel’’ (banquet). Pour ce dernier acte, il s’agit de partager en communauté des repas copieux à base de poissons ou de viandes de poulets, de moutons, de bœufs et de chameaux. Ces repas sont servis à volonté dans toutes les concessions, avec en prime des boissons et des fruits exotiques. Comme à l’accoutumée, de longues files de pèlerins se sont formées sur plusieurs dizaines de mètres devant la Grande Mosquée de la cité religieuse, pour les besoins du traditionnel recueillement au mausolée du fondateur du mouridisme, Cheikh Ahmadou Bamba (1853-1927). Les mausolées de Serigne Modou Moustapha Mbacké, Serigne Fallou, de Abdou Khadre, de Serigne Saliou, de Serigne Mourtalla Mbacké, ont aussi refusé du monde. En raison de la pandémie de coronavirus, le comité d’organisation du Magal, sur recommandation du khalife général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké, a particulièrement insisté sur le nécessaire respect des mesures barrières, pour limiter la propagation de la Covid-19. Ainsi, il est exigé à tout pèlerin le port du masque pour accéder à ce grand édifice religieux aux sept minarets imposants, dont le premier Khalife de Serigne Touba, feu Serigne Moustapha Mbacké, a posé la première pierre le 02 mars 1932, avant son inauguration le vendredi 07 juin 1963, par Mouhammadou Falilou Mbacké. Aux différents points d’entrée de la Mosquée, des lavoirs et gels hydroalcooliques sont mis à la disposition des pèlerins. Et des masques chirurgicaux sont distribués aux pèlerins qui n’en disposent pas ainsi qu’à ceux dont les masques ne sont pas conformes aux exigences sanitaires. A l’intérieur, un balisage a été fait pour guider les pèlerins, avec des signalitiques au sol, tenant compte de la distanciation physique de manière à éviter tout contact entre fidèles, notamment dans les lieux de recueillement. Sur place, des centaines de préposés à la mosquée veillent au grain. Certains d’entre eux, munis de hauts parleurs, rappellent systématiquement aux pèlerins, les règles spéciales édictées cette année, en raison de la maladie. ’’C’est pour moi un énorme privilège d’assister à nouveau à ce moment unique pour nous mourides, d’accomplir une fois de plus la volonté de notre guide et référence, Cheikh Ahmadou Bamba, Khadimou Rassoul (l’esclave du Prophète)’’, lance Babacar Ka, un pèlerin venu de la région de Kaffrine et rencontré aux alentours de la Grande de Mosquée. ’’Ce n’est que du bonheur de voir tout ce beau monde répondre ainsi massivement à l’appel du Cheikh, malgré ce contexte particulier de cette maladie qui fait peur à l’humanité entière (...). Et ceci démontre à quel point, nous mourides, on est intimement lié et fidèle à Serigne Touba’’, ajoute-t-il. Le moins que l’on puisse dire est que malgré la forte canicule, la ville de Touba refuse du monde. Des marées humaines, composées de fidèles en provenance des quatre coins du Sénégal et de la diaspora, déferlent sur les rues de la grande ville, notamment les grandes artères qui desservent la grande mosquée. MK/ASG