99 Names of Allah (swt)

29/01/2016

La caricature du fondateur du Mouridisme par Jeune Afrique mis en exergue

  • Source: : APS | Le 29 janvier, 2016 à 09:01:18

Revue de Presse

La caricature du fondateur du mouridisme Cheikh Ahmadou Bamba sur le site du magazine parisien Jeune Afrique est largement commentée par les quotidiens sénégalais reçus vendredi à l’APS. Traitant de la polémique née du port de sac efféminé par l’artiste chanteur Waly Seck, Jeune Afrique a posté une image caricaturale du guide religieux sur son site. "Jeune Afrique fâche Touba", écrit Enquête selon qui le magazine parisien ne se doutait pas du tollé qu’un tel acte allait susciter au Sénégal. Après avoir saisi le président Macky Sall qui se trouve à Addis-Abeba, pour le sommet de l’Union africaine, le porte-parole du Khalife général des mourides, a fait une sortie publique pour promettre le pire aux ennemis du fondateur du mouridisme, renseigne le journal.
 A en croire Enquête, c’est l’Etat du Sénégal qui est intervenu au sommet pour contraindre l’hebdomadaire parisien à retirer la photo incriminée, puisque Sérigne Bass Abdou Khadre déclare avoir saisi lui-même Macky Sall sur cette question. Du coup, écrit ce journal, "Jeune Afrique ne s’est pas limité à retirer la photo, il s’est tout de même expliqué sur ses intentions, pour ensuite présenter ses excuses". Selon Walf quotidien, en publiant une image caricaturale de Sérigne Touba, "Jeune Afrique vient de franchir le Rubicon". De quoi susciter les positions les plus radicales allant jusqu’à prôner l’interdiction de la vente du journal au Sénégal, relève le journal, ajoutant que Touba accuse des lobbies d’être derrière cet acte de Jeune Afrique. "Le port des sacs à main de femmes par Waly Seck n’a aucun rapport avec Sérigne Touba.
Le rapport qui n’en est pas un est la confirmation que ce sont des lobbies qui sont derrière cela pour ternir l’image du mouridisme", a déclaré dans Walf quotidien, Sérigne Moustapha Diakhaté Khadimou Khadim."Mais leur dessein sera voué à l’échec et n’y parviendront pas jusqu’à l’extinction du soleil", a martelé le guide religieux dont les propos sont repris par Walf quotidien. La Tribune renseigne que "Touba tape du poing sur la table et menace Jeune Afrique après la publication sur son site un article intégrant une caricature soi-disant du fondateur du mouridisme". "Désormais, nous ne permettrons plus des attaques contre la communauté mouride d’où qu’elles viennent", a averti le porte-parole du Khalife général des mourides, Sérigne Bass Abdou Khadre, renseigne ce journal.
 Libération écrit que face à la colère de Touba, Jeune Afrique se rétracte. N’empêche le mal était déjà fait…, ajoute-t-il. "Une véritable levée de boucliers a suivi le débat à telle enseigne que le khalife général des mourides Sérigne Sidy Moctar Mbacké a envoyé son porte-parole remettre les pendules à l’heure", relève L’As. "Etant donné que Sérigne Touba avait pardonné à tous ses ennemis à son retour d’exil, ce n’est pas aujourd’hui que nous allons verser dans une polémique avec ces calomniateurs, parce qu’il a écrit que ceux qui le dénigrent finiront par tomber", a estimé Sérigne Bass Abdou Khadre cité par ce journal. Evoquant les dégâts collatéraux du sac à main de Waly Seck, Le Témoin écrit que Jeune Afrique offense Touba, puis s’excuse… ASB/PON
Auteur: APS - APS

Touba se mobilise contre l'article 15 du projet de révision Constitutionnelle

Le Président Macky Sall a désormais du fil à retordre. Une pléthore de dignitaires religieux de la confrérie mouride s’était donné rendez-vous dans la résidence Khadimou Rassoul pour exprimer leur courroux par rapport à l’article 15 de l’avant-projet de révision constitutionnelle proposé par le Chef de l’Etat. 
Cet article 15 consacre, entre autres stipulations, l’intangibilité du caractère laïc de la République Sénégalaise. Parmi les chefs religieux qui portent le combat, on notait Serigne Amsatou Mbacké Ibn Serigne Abdoul Ahad, Serigne Ahmadou Rafa’i Mbacké Ibn Serigne Fallou, Serigne Cheikh Aliou Mbacké, Serigne Khalil Mbacké, Serigne Mbaye Longhor, Serigne Djily Kébé Ibn Sokhna Walo etc… D’une même voix, ils ont sollicité du Président Macky Sall qu’il change la teneur de cet article. 
Dans les discours, ils se sont tous accordés à dire que la laïcité est la porte ouverte à toutes les dérives allant des caricatures à l’homosexualité en passant par les autres actes contre-nature. « Jama’atu khudamoul Khadim » prend désormais le combat avec l’accord du Khalife Général des Mourides, dixit Serigne Amsatou Mbacké, fils du troisième Khalife Mouride. 



Muslim Senegal Celebrates Christmas
Mamadou Ngueye, who dresses as Santa Claus, waits for a guest to take a picture with at the amusement park  Darkar, Senegal, Dec. 19 2015. Ngueye, is one of many Peres Noels, or Father Christmases, seen in Senegal’s capital.
Mamadou Ngueye, who dresses as Santa Claus, waits for a guest to take a picture with at the amusement park Darkar, Senegal, Dec. 19 2015. Ngueye, is one of many Peres Noels, or Father Christmases, seen in Senegal’s capital.
Associated Press
After his morning prayers at the mosque, 25-year-old Mamadou Aliou Ba puts on his Santa suit, the padded belly protruding from his thin, tall frame, and goes to work.
He stands proudly, smiling from behind a snowy white mustache and beard that take over his face, waving to families walking by the supermarket in one of Dakar's wealthier neighborhoods.
Ba is one of many Pères Noel, or Father Christmases, seen in Senegal's capital this festive season. He, like the majority of Senegalese, is Muslim and yet celebrates Christmas.
"Everyone, Christians and Muslims, celebrate Christmas here," he said, holding up a small bag of candies he gives out as gifts. "I like to do this work," Ba says, adding that he also enjoys the extra money.
Mostly Muslim
About 94 percent of Senegal's 14 million people are Muslim, but Christmas is everywhere.
Street vendors hawk tinseled garlands, blow-up Santas, Christmas trees and ornaments. Giant candy canes line the path to one mall where a sleigh sits in the tropical heat, and at an amusement park a large Santa Claus statue greets visitors.
The prominence of the Christian holiday highlights that Senegal is a bright spot of tolerance and diversity in West Africa where many countries are divided by religion and ethnicity and where the threat of Islamic extremism is growing.
Daouda Sow, 45, a Muslim businessman says he has a Christmas tree at home. "This is the culture in Senegal," he said. "It's very open, and it's different from our neighbors such as Guinea or Mali."
Two religions, together
Sow says he has celebrated the holiday since he was a child.
"The two religions, we are in it together," he said, using a phrase common in Senegalese culture. "We are invited to celebrate holidays like Easter and Christmas, and we invite Christians to celebrate our holidays with us."
Members of the same families may also practice different religions, Sow said.
This year is particularly special because the celebration of Moulid al-Nabi, the birth of the Prophet Muhammed, is followed just a day later by Christmas, said Bakary Sambe, an assistant professor at Gaston Berger university in St. Louis, on Senegal's northern coast.
"The celebrations symbolize the uniqueness of Senegal, where we are a Muslim majority and where we have a special cohabitation between Muslims and Christians," said Sambe, also the head of the Observatory on Religions, Radicalism and Conflict in Africa.
In Senegal, most Muslims belong to one of the Sufi brotherhoods, "which interpret Islam according to our social values in a peaceful way, based on education and tolerance. ... We have a critical assimilation of Islamic faith. We accept it as a faith, but we try always to harmonize between Islamic and local values," Sambe said.
Barrier against Islamic extremism
This has been a barrier against the Islamic extremism seen in neighboring countries in West and Central Africa, said Sambe.
Worries of extremism have caused Senegalese authorities to propose banning fireworks for New Year's Eve celebrations and some vendors have complained  that less tolerance for public gatherings could hurt business.
Senegalese of whatever faith get into the Christmas spirit of celebration.
"For us, it's a night out!" said Ouli Sanokho, a 23-year-old who works at a call center. "In fact, we celebrate the entire month," quickly adding that alcohol is not imbibed.
Ashok Chellani, said he is pleased to have a Santa in front of the supermarket he manages. He is Hindu and said he welcomes the month of celebration.
"We are in this together," he said, adding that the Santa will be at his shop until Dec. 31. "A festival is a festival!"


Call to Friday Prayer (Adhan) at Al-Azhar Mosque



Makkah jumua salah


Madinah Jumua Salah  Sheikh Qasim

28/01/2016

àjjuma 19 rakkigàmmu 1437

AWQAATU SALAAT






FAJAR : 06W23
 
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GEEWE : 20w16

21/01/2016

àjjuma 12 rakkigàmmu 1437

AWQAATU SALAAT





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GEEWE : 20w12